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Khadim

31 août 2015

Le développement de l'Afrique doit être dans

 

Le développement de l'Afrique doit être dans l'ADN de tous les Africains.

 

Mon vœu le plus cher est que le milieu des affaires en Afrique adopte des approches africapitalistes. Les dirigeants politiques et les gouvernements ont un rôle critique à jouer dans ce domaine. Il est de leur responsabilité de créer un environnement favorable dans lequel le secteur privé peut s'engager dans une activité économique qui génère de la richesse. Les gouvernements doivent appliquer des politiques solides et stables de sorte que les chefs d'entreprise puissent investir pour le long terme.

 

Le développement de l'Afrique devrait, au contraire, être dans l'ADN de tous les Africains. C'est l'objet de l'Africapitalisme. Cette approche peut contribuer à stimuler la diversification économique et la transformation structurelle en créant des emplois et en assurant la formation de la prochaine génération d'entrepreneurs et d'innovateurs, tout en contribuant à la construction des infrastructures essentielles sur le continent.

 

Nous devons nous montrer à la hauteur de ces évolutions et adopter une approche innovante, fondée sur un changement durable et transformateur et reposant sur des investissements à long terme qui assureront la prospérité économique et sociale du continent. C'est la raison d'être de ce concepts qui guide ma vision du développement de l'Afrique : l'Africapitalisme.

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12 juin 2015

Mr FAYE, invite le président de la République

Mr FAYE, invite le président de la République Macky Sall à se départir» des vieux politiciens qui l’entourent » et favoriser  »l’alternance générationnelle».

Il faut que le président de la République ait le courage, la fermeté et la détermination de se départir des vieux politiciens qui l’entourent.

Le Sénégal a une classe politique vieillissante d’où un nécessaire renouvèlement de l’arène politique sénégalaise mené par les jeunes’’.

 ‘’Le Sénégal a besoin de sang neuf dans l’arène politique qu’il faut renouveler avec une touche de jeunesse’’.

Nous avons réussi une deuxième alternance politique qui suscite l’espoir mais cet espoir tend à s’effondrer, car ce sont les mêmes personnes (…) qui cherchent à se refaire jeunes’’.

La jeunesse Sénégalaise a toujours joué un rôle déterminant dans la prise du pouvoir et dans les luttes démocratiques à travers son implication et son organisation au sein des partis politiques et des syndicats. Et  l’exemple des mouvements sociaux de mai 1968 avec la révolte des élèves et étudiants, est patent à cet égard. Aujourd’hui encore  cette jeunesse en quête d’une nouvelle citoyenneté est beaucoup plus exigeante à l’endroit de ses représentants (président de la république, ministres, députés, Maires, conseillers…).

Elle pose la question de savoir : qui nous représente dans les instances de prise de décision ? (Gouvernement ? Assemblée Nationale ? Conseil Economique, Social et Environnemental ? Conseil régional ? Conseil Municipal ?  Conseil Rural ?) 

Cette question trouve  toute sa pertinence dans le comportement de ceux qui sont supposés représenter le peuple en général et en  particulier les jeunes. Car combien de fois a-t-on entendu  un politicien clamer ’’ je suis le député du peuple !’’. Or  le premier réflexe de ces représentants c’est de changer  de contacts (numéros de téléphone, Adresse, Domicile, inaccessible = nouvelle sécurité) complètement  coupés  des masses qu’ils représentent. C’est fort de ce constat douloureux suivi de déceptions électorales récurrentes que les jeunes revendiquent maintenant leur quota dans la représentation démocratique. Alors fatigués d’être toujours pris comme des  faiseurs de  rois, ils exigent d’être présents là où on décide de leur  sort sans eux.

Il faut juste rappeler que les jeunes représentent  à peu près plus de 60% de la population. Ils constituent la couche sociale  la plus vulnérable avec des besoins spécifiques. Si la jeunesse se définit comme tout individu (homme et femme âgé de 18 ans  à 35 ans) par conséquent la majeure partie des jeunes à l’âge de voter, ce qui leur confère ce statut de faiseurs de rois. Cette jeunesse fait souvent l’objet de récupération politique ou d’instrumentalisation au sein de leurs formations politiques ou de la part de politiciens véreux ou des démagogues.

Jeunesse, vous êtes le présent du Sénégal ! Réveillez-vous

La solution c´est le PARTI REPUBLICAIN ET CITOYEN

26 juin 2014

Personnellement, j’ai cherché à mieux comprendre

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Personnellement, j’ai cherché à mieux comprendre et je partage avec vous.

 

Elections municipales: comprendre les règles du scrutin

 

Les Sénégalais se rendront aux urnes le dimanche 29 juin prochain pour élire les 25 688 conseillers municipaux, 5 ans après le dernier scrutin qui remonte au dimanche 22 mars 2009.

 

Qu’appelle-t-on les « municipales Sénégalaises » ?

 

Les municipales au Sénégal sont des élections locales qui permettent la nomination des membres du conseil municipal, ainsi que celle du maire et de son adjoint pour chaque commune de chaque département. Ces conseillers municipaux sont élus au suffrage universel pour un mandat de 5 ans, pouvant faire l’objet d’un renouvellement. Leur nombre varie en fonction de la taille de leur commune. Les conseillers municipaux, élus par les habitants qu’ils représentent, sont chargés de régler par des délibérations les affaires communales, comprenant tous les sujets locaux.

 

En ce qui concerne le statut de maire, celui-ci est élu par le conseil en leur sein et possède un mandat propre. Par ailleurs, ce premier magistrat de la commune est non seulement appelé à officier l’état civil, mais est également officier de police. Ainsi, il est le représentant de l’État dans la commune dont il est gestionnaire.

 

Qui peut se porter candidat ?

 

Tous les habitants de la commune sont éligibles à condition de remplir la « qualité d’électeur », cela implique tout homme et femme âgée de 18 ans et plus et n’étant pas inéligible. Des « candidats extra-communaux » peuvent aussi se présenter aux élections municipales en délivrant des documents qui prouvent leur attachement (notamment fiscal) à la commune.

 

Le vote est couplé:

 

- l'électeur vote successivement régionale et/ ou municipale s'il est dans une commune avec des bulletins totalement différents.

 

Les conseillers municipaux sont élus pour cinq (5) ans. Ils sont élus pour moitié au scrutin de liste majoritaire à un tour sans panache, ni vote préférentiel et sur liste complète; l'autre moitié est élue au scrutin proportionnel avec application du quotient municipal. Pour déterminer ce quotient, on divise le nombre total des suffrages valablement exprimés par le nombre de conseillers municipaux à élire. Autant de fois ce quotient est contenu dans le nombre des suffrages obtenus par chaque liste, autant celle-ci obtient de candidats élus.

 

Comment ça marche?

 

Selon les dispositions du Code électorale, les élections municipales au Sénégal combinent le scrutin majoritaire à un tour au niveau départemental et le scrutin proportionnel qui s’applique sur la liste nationale. Dans chaque département, le parti qui arrive en tête remporte la mise. Pour les listes nationales, le mode proportionnel est appliqué. Les suffrages exprimés au niveau départemental sont compilés pour déterminer les élus sur la liste nationale, selon le quotient électoral (nombre total de suffrages exprimés divisé par le nombre sièges à pourvoir).

 

Le déroulement du vote et la suite des opérations électorales :

 

Selon la nouvelle loi portant organisation aux élections des conseillers municipaux, le vote est individuel  et ne peut se faire par procuration ou par correspondance. Quant à son déroulement, la procédure est simple. Vous arrivez au bureau de vote, à l`entrée vous présentez votre carte d`électeur aux assesseurs qui vont vérifier si votre nom est bien sur la liste des électeurs inscrits dans ce bureau. Ensuite, l’électeur trouvera sur une table des piles de bulletins et vous prendrez dans votre main différents bulletins.

 

Vous vous rendez dans l`isoloir qui est le petit coin aménagé dans le bureau de vote où vous serez seul à voter et personne ne pourra savoir qui vous avez voté. Dans l`isoloir, vous allez marquer votre choix en apposant votre empreinte digitale dans la case vide située à droite du OUI ou du NON.

 

Vous pliez le bulletin comme indiqué pour cacher votre choix. Après cela, vous pouvez alors sortir de l`isoloir et vous approcher de l`urne, en présence des témoins pour introduire votre bulletin dans l`urne.

 

Après le vote, quelle sera la prochaine étape ?

 

Tout à fait, après le vote viendra ensuite l'étape du dépouillement qui en fait, un ensemble d'opérations qui permettent de connaître le résultat d'un scrutin. Actuellement au Sénégal, le dépouillement se déroule en présence des témoins, des observateurs nationaux et internationaux; et de cinq électeurs désignés par le bureau de dépouillement.

 

Beaucoup de sénégalaisvoudraient aussi savoir comment se déroulera ce dépouillement ?

 

La nouvelle loi portant organisation des élections au Sénégal précise que c’est au président du bureau de dépouillement que revient la charge d’ouvrir l'urne en présence des membres du bureau, des témoins et des observateurs présents sur les lieux, ainsi que de cinq électeurs désignés par le bureau.

 

Cette opération se déroule en présence des témoins, des observateurs, des journalistes présents et de cinq électeurs désignés par le président du bureau de dépouillement. Chaque Président du bureau de dépouillement compte les votes de son bureau. 

 

Il prend chaque bulletin, le donne à un assesseur qui le lit à haute voix et le classe selon les catégories ” Bulletins valables et bulletins nuls.”Les autres membres procèdent simultanément au pointage. Le président du bureau classe les bulletins valables et calcule le total des voix obtenues par chaque candidat. Il consigne, outre les informations recueillies, les résultats dans le relevé du dépouillement portant les inscriptions suivantes : ” Élection ” et ” Résultat de dépouillement du bureau de vote N°….”

 

A la clôture du dépouillement, le président du bureau dresse un procès-verbal des opérations du dépouillement, conformément au modèle établi par la Commission Electorale Nationale Autonome. Celui-ci sera contresigné par tous les membres du bureau et par les témoins présents qui le désirent. Une copie de ce procès-verbal sera remise aux témoins, s'ils en font la demande.

 

Les enveloppes sont scellées  en présence des témoins et des observateurs  pour être envoyés ensemble avec la liste des électeurs et le procès verbal du dépouillement au centre de compilation de la Commission Electorale Nationale Autonome. Aussitôt le dépouillement terminé, le résultat est immédiatement rendu public et affiché devant le bureau de dépouillement, suivant les modalités arrêtées par la CENA.

 

Le conseil constitutionnel du ressort selon le cas, proclame les résultats définitifs des élections municipales et locales dans les quarante-huit heures qui suivent la transmission des résultats provisoires, si aucun recours n’a été introduit devant ces juridictions.

 

J'ai parlé de la mention “NUL”, dans quelle circonstance un bulletin peut-être frappé du cachet portant cette mention ?

 

La loi électorale indique plusieurs cas d'espèces. On retrouve dans ce lot les bulletins non conformes au modèle aux prescrit de la C.E.N.A, les bulletins non paraphés par le président du bureau de vote, les bulletins portant des ratures ou surcharges, les bulletins portant les deux choix précités, les bulletins sans mentions du choix de l'électeur, les bulletins portant des mentions non requises; et enfin, les bulletins déchirés.

 

Je vous remercie de votre diligence»

 



 



 





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

25 juin 2014

Lettre ouverte aux Sénégalais: par Mr FAYE Dans

Lettre ouverte aux Sénégalais: par Mr FAYE

Dans les jours qui viennent, notre pays organisera, des élections locales d’une importance capitale pour notre vie en tant que citoyennes et citoyens, mais pour l’avenir de nos terroirs respectifs.
Le droit de vote, est un droit constitutionnel pour chaque citoyenne, et citoyen, un moment privilégié donc pour le citoyen, de faire un choix en adéquation avec son projet de vie. Pour ces élections, la Communauté doit choisir la PAIX et les électeurs doivent voter pour un projet de PAIX, de JUSTICE, de SOLIDARITE et de DEVELOPPEMENT!
Les candidats déclarés à cette occasion, ont l’obligation de dévoiler leur projet de société et leur vision sur un certains nombre de questions dont se posent chacun de nous, notamment sur l’avenir de la collectivité locale, son rayonnement économique, social, culturel, la question de l’environnement, de la cohésion sociale, de l’éducation, de la santé, de l’enfance, des personnes âgées, des femmes , des jeunes, de la démocratie participative, et de la sécurité locale, celle des personnes et de leurs biens…!

Dans ce contexte, teinté d’incertitude pour l’avenir, et d’absence de projet politique et de vision claire pour la plus part de ceux ou celles qui se déclarent candidats (es) aux élections locales, le devoir nous oblige à la vigilance et à assumer pleinement notre responsabilité en tant que citoyens, patriotes et acteurs associatifs militant pour une société forte.
C’est pourquoi, fidèle à sa valeur, à sa vision et ses idéaux de Paix, et de non violence, Mr FAYE (qui œuvre pour une Émergence Citoyenne, Politique et Économique du Sénégal), compte apporter sa contribution à l’occasion de ces élections locales en inscrivant ouvertement et publiquement dans l’agenda politique des candidats le débat citoyen et démocratique sur l’avenir du Sénégal.
Photo : Lettre ouverte aux Sénégalais: par Mr FAYE Dans les jours qui viennent, notre pays organisera, des élections locales d’une importance capitale pour notre vie en tant que citoyennes et citoyens, mais pour l’avenir de nos terroirs respectifs. Le droit de vote, est un droit constitutionnel pour chaque citoyenne, et citoyen, un moment privilégié donc pour le citoyen, de faire un choix en adéquation avec son projet de vie. Pour ces élections, la Communauté doit choisir la PAIX et les électeurs doivent voter pour un projet de PAIX, de JUSTICE, de SOLIDARITE et de DEVELOPPEMENT! Les candidats déclarés à cette occasion, ont l’obligation de dévoiler leur projet de société et leur vision sur un certains nombre de questions dont se posent chacun de nous, notamment sur l’avenir de la collectivité locale, son rayonnement économique, social, culturel, la question de l’environnement, de la cohésion sociale, de l’éducation, de la santé, de l’enfance, des personnes âgées, des femmes , des jeunes, de la démocratie participative, et de la sécurité locale, celle des personnes et de leurs biens…! Dans ce contexte, teinté d’incertitude pour l’avenir, et d’absence de projet politique et de vision claire pour la plus part de ceux ou celles qui se déclarent candidats (es) aux élections locales, le devoir nous oblige à la vigilance et à assumer pleinement notre responsabilité en tant que citoyens, patriotes et acteurs associatifs militant pour une société forte. C’est pourquoi, fidèle à sa valeur, à sa vision et ses idéaux de Paix, et de non violence, Mr FAYE (qui œuvre pour une Émergence Citoyenne, Politique et Économique du Sénégal), compte apporter sa contribution à l’occasion de ces élections locales en inscrivant ouvertement et publiquement dans l’agenda politique des candidats le débat citoyen et démocratique sur l’avenir du Sénégal.

24 juin 2014

La violences politiques au Sénégal, «la racine du

La violences politiques au Sénégal, «la racine du mal»

 

Bien que le Sénégal se prévale d’une expérience électorale centenaire, il n’est pas pour autant épargné par les violences politiques en général et électorales en particulier, relève Mr FAYE militant du Parti Républicain et Citoyen ''PRC''.
La violence est ‘’une constante dans la vie politique sénégalaise’’, selon Mr FAYE qui rappelle l’assassinat du député Demba Diop de Mbour en 1967, la tentative d’assassinat du président Léopold S. Senghor en 1967, l’assassinat de Me Babacar Sèye en 1993, la tentative d’assassinat de Talla Sylla en 2003 et plus récement l’affaire dite des événements de Touba, le dossier Malal Talla alias Fou Malade «on n’est très inquiet et il est temps qu’on s’organise».

En outre, indique Mr FAYE, ‘’la configuration de la vie politique sénégalaise semble être porteuse, elle-même, de germes de conflits relativement étudiés et compris dans leur multiples dimensions''.

Mr FAYE estime toutefois que ces germes sont ''négligés par les différents acteurs et dont l’ampleur et l’importance pourraient irréversiblement entrainer, si rien n’est fait, dans un avenir plus ou moins lointain, un basculement chaotique’’.

A ce propos, il signale que les derniers évènements de Grand-Yoff à Dakar, de Tambacounda et d’autres régions du pays ‘’sont des indicateurs objectivement vérifiables du caractère conflictuel de la vie politique sénégalaise, avec ses relents de violences politiques’’.

L’objectif de la campagne est de ‘’contribuer à l’apaisement du climat politique et social avant, pendant et après les élections locales’’.

Il s’agit ‘’d’apaiser le climat politique pour un bon déroulement des élections locales, sensibiliser les acteurs sur la non violence pour les élections locales, sensibiliser la population sur les conséquences de la violence sur le développement et la paix sociale par des spots publicitaires dans les radios et télé’’.

Mr FAYE veut ainsi ‘’sensibiliser ses frères politiques sur les conséquences désastreuses du recours à la violence, sensibiliser les citoyens pour promouvoir le dialogue politique, la confrontation des idées et des programmes, promouvoir la tolérance et le respect mutuel’’.

 

 

 

Mr FAYE, Parti Républicain et Citoyen ''PRC''

      

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6 juin 2014

J’ai créerce Blog pour contribuer à la démocratie

 

 

J’ai créerce Blog pour contribuer à la démocratie et apporter ma pierre à l'édifice de la nation et à la prise de conscience de ceux qui pensent que la politique c’est compliqué et que ce n’est pas pour eux.

J’ai envie de sensibiliser une partie du public non avertie et curieuse, en espérant que la lecture de ces textes leur donnent l’envie d’aller plus loin.

J’espère que tout ceux qui disent «je ne m’occupe pas de politique», prendront conscience, que s’ils ne s’occupent pas de politique, la politique s’occupe d’eux, car dans leur vie de tous les jours, le prix des loyers, du pain, leurs conditions de travail, leur santé, l’avenir de leurs enfants, tout dépend de décisions politiques.

Ceux qui dirigent la société ont fait passer le message que la politique était une affaire de spécialistes, d’économistes, d’intellectuels ou de politologues, c’est à dire de professionnels. C’est faux, la politique est l’affaire de tous, et il faut la mettre à la portée de tous. Ce n’est pas celui qui a le plus gros salaire ou le CV le plus fourni qui a forcément raison, c’est parfois le contraire ; tout le monde peut et doit participer au débat. Mais tout est fait pour décourager le citoyen, et le slogan «tous pareils, tous pourris» n’est pas apparu par hasard !Nombreux de citoyens de bonne foi font partie d’associations d’aide aux plus démunis, aux étrangers, aux sans papiers, aux laissés pour compte dans les quartiers ou ailleurs, militent pour les problèmes de logement, de santé, d’éducation … mais n’osent pas remettre en cause le système qui est responsable de tout cela.

S’intéresser à la politique est beaucoup plus facile que l’on ne le croit, et nous allons le dire, si ça s’ébruite, pour donner des idées à certains!

Pourquoi s’engager en politique ?

Je réponds à cette question qui m'est posée en ce moment et qui fait suite également à un précédent billet, le Politique ne consiste pas à se servir mais à servir - servir son pays, son peuple et ses différents partenaires, et au bout du compte à servir Dieu.

Mais aujord'huit le chemin politique que nous choisissons n'est pas le plus facile mais avant d'opter pour un projet, une méthode, des valeurs, il y a cette envie de faire de la politique.

Pourquoi je me suis engagé en politique ? Pour deux raisons liées à ma personnalité, le gout de l'avenir, aller de l'avant, avancer toujours et puis ce besoin d'agir pour ne pas subir, en tout cas, avoir le sentiment de moins subir. Ce point, je le résume dans le sous titre de ce blog, vous avez beau ne pas vous occuper de politique, la politique s'occupe de vous tout de même.Je pense que nous sommes tous responsables de la construction de notre avenir et je préfère m'investir pour l'orienter vers un projet favorable plutôt que le laisser suivre un cours fataliste. Mais il est vrai que vouloir réorganiser notre société, c'est difficile et sans certitude d'y arriver. A cela s'ajoute la volonté de faire de la politique autrement. Réorienter notre société vers l'humanisme et faire de la politique pour l'intérêt général, ce sont là deux idéaux biens bousculés.

 

L'engagement:

A ce titre, il vise la dose minimale d'optimisme, de tolérance et de détermination dont nous avons besoin pour vivre ensemble. Il conduit à aborder la question la plus essentielle et la plus urgente du moment : comment refonder véritablement la politique?

Comment refonder la politique ? Notre avenir réside aussi dans les réponses à cette question et mon engagement est :

  • de conserver mes idéaux sans être naïf,

  • d'être conscient des crises et des difficultés actuelles mais d'aborder l'avenir avec optimisme,

  • d'être une voix indépendante et libre, pour l'intérêt général,

  • de porter une troisième voie, autre que l'épuisant combat droite/gauche, construire le projet humaniste,

  • d'être déterminé mais ouvert aux autres, aux idées de autres,

  • de faire de la politique autrement, une politique de vérité, de justice, de responsabilité,

 

une belle et enthousiasmante aventure en somme...

 

 

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Khadim
  • Je désire contribuer à la démocratie en apportant ma pierre à un édifice certes fragile mais indispensable à l’émancipation et à la prise de conscience de ceux qui pensent que la politique c’est compliqué et que ce n’est pas pour eux.
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